Par ailleurs, il a déjà travaillé dans des châteaux dont celui de Hautefort, en Dordogne, de 2013 à
2015. Accueillir un artiste vivant permet de renouveler le regard sur l'architecture, le décor et
l'histoire de cet extraordinaire palais.
Heures italiennes, peintures du XVIIIème siècle
Du 9 mars au 21 août 2017
Surtout connue pour ses cathédrales, la Picardie est riche de près de cinq cents tableaux italiens datés entre le XIVe et le XVIIIe siècle !
Le Musée de Picardie à Amiens, le Musée Condé à Chantilly, le MUDO musée de l'oise et la Galerie nationale de la tapisserie à Beauvais et les Musées et domaine nationaux de Compiègne s'associent pour offrir au public un large panorama de la peinture italienne des Primitifs à la fin de l'âge baroque.
Le palais de Compiègne se met à l'heure italienne pour présenter plus d'une soixantaine de toiles du XVIIIe siècle illustrant les principaux courants de cette époque en Italie.
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Le palais de Compiègne organise avec le musée des Augustins de Fribourg-en-Brisgau et le Museum of Fine Arts de Houston une exposition exceptionnelle dédiée à Winterhalter. A cette occasion, il bénéficie de prêts importants des collections de Sa Majesté la reine Elisabeth II d’Angleterre et du musée national du château de Versailles. L'exposition s'attache à retracer la carrière de Winterhalter et plus particulièrement ses envois au Salon et les commandes des deux maisons régnantes françaises.

A l'occasion du 120e anniversaire de la célèbre course cycliste Paris-Roubaix, le musée national de la Voiture propose d'illustrer ces moments forts de l'histoire des deux-roues, autour d'une récente acquisition de cycles et motocycles provenant de l'ancienne collection Claude Reynaud et de plusieurs oeuvres essentielles de sa collection.
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Du 16 octobre 2015 au 7 mars 2016
Le palais de Compiègne conserve une exceptionnelle collection de porcelaines de Sèvres datant de 1800 à 1870, commandes impériales ou royales. Une trentaine de pièces, parmi les plus spectaculaires et les plus rares sortent exceptionnellement de leurs réserves.
Cette exposition se propose de mettre en lumière une figure méconnue de l'art du Second Empire, la sculptrice Marcello, de son vrai nom Adèle d'Affry (1836-1879), duchesse de Castiglione Colonna. Elle éclaire également le destin singulier d'une aristocrate éprise de liberté, tiraillée entre ses aspirations et les conventions de son milieu social.
Veuve à vingt ans, elle trouva une consolation dans l'art. Après s'être formée en dehors du système académique, elle fit ses débuts avec succès au Salon de 1863 sous le pseudonyme de Marcello. Invitée à la cour par l'impératrice Eugénie, elle prit part à trois reprises aux séries de Compiègne. Elle reçut plusieurs commandes impériales et poursuivit une carrière internationale. Sa Pythie, l'une des sculptures les plus fortes et les plus étonnantes créées sous le Second Empire, fut acquise par Charles Garnier pour l'Opéra.
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Le palais de Compiègne s'associe au Musée de l'Oise de Beauvais, au Musée d'Art et d'Archéologie de Senlis, au Musée de la Vie romantique à Paris, au musée de Picardie à Amiens et au Musée Antoine Vivenel à Compiègne pour célébrer le bicentenaire de la naissance de Thomas Couture. Grâce à la générosité de ses descendants, le palais de Compiègne conserve le plus important fonds de dessins du maître de Manet conservés dans une collection publique.
Riche et varié, ce fonds permet d'éclairer de nombreux aspects de sa carrière et de son oeuvre. La carrière du peintre est ainsi évoquée grâce aux dessins, esquisses et photographies, d'oeuvres tels Le Fauconnier, le Souper à la Maison d'or et le projet de décor du Pavillon Denon du Louvre. Le Baptême du Prince impérial avec les dessins préparatoires et les nombreuses esquisses réalisés pour cette monumentale toile est exceptionnellement accessible en visite groupée tous les jours à 14h30.
► Télécharger le dossier de presse de l'exposition Thomas Couture :

1800 - 1815
Au lieu de célébrer la fin d’une épopée, nous vous proposons de découvrir les arts du Premier Empire sous des angles surprenants.
Au service de la gloire de Napoléon Ier, entre 1800 et 1815, ils ne peuvent être réduits à cette seule image. Dans les arts décoratifs, la peinture et la sculpture, des motifs originaux aux coloris inédits, des formes innovantes et fonctionnelles apparaissent. Entre néo-classicisme, style troubadour ou pré-romantisme, de grands noms scandent cette époque: David, Prudhon, Girodet ou Géricault.
Un goût nouveau se répand dans la société française et dans toute l’Europe, notamment dans le Grand-Duché de Varsovie, et sera une source d’inspiration jusqu’au XXe siècle.
Le palais de Compiègne en collaboration avec le château royal de Varsovie propose de montrer l’originalité, la richesse et la modernité de cette époque, à partir d’une sélection d’oeuvres provenant des principales collections publiques françaises, enrichie à Varsovie par des oeuvres des collections polonaises.

Le palais de Compiègne dans la Grande Guerre
La première section rappellera le contexte international du conflit depuis 1870 jusqu’à la déclaration de guerre. On évoquera ensuite les premiers mois décisifs du conflit, qui affectèrent profondément notre région, les soldats ainsi que les populations civiles, avec le passage de la guerre de mouvement à la guerre de position (août-octobre 1914). La troisième et dernière partie prendra en compte le soldat, blessé et malade, depuis la ligne de front jusqu’à l’arrière, où il se trouve pris en charge dans les hôpitaux de campagne. Elle insistera sur le rôle de Compiègne comme base de santé, avec en particulier la transformation du palais en hôpital temporaire (octobre 1914 – avril 1917), jusqu’à l’installation du Grand Quartier Général.
A travers de nombreux documents issus des collections du palais, du musée franco-américain de Blérancourt, et de prêts d’autres institutions, elle abordera ces trois premières années de guerre.
Une deuxième exposition temporaire en 2018, intitulée
« Du grand Quartier Général à l’armistice – Le palais de Compiègne, de la Grande Guerre à la reconstruction, 1917-1919 »
Elle permettra d’évoquer la situation militaire durant les deux dernières années du conflit ainsi que la présence dans le palais du commandement militaire allié jusqu’à la contre-offensive allemande de 1918. L’exposition s’achèvera sur le bilan des destructions dont eurent à souffrir Compiègne et sa région et sur la reconstruction puisque le palais abrita l'administration des régions libérées.
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En effet, doué d’une aisance époustouflante, il dessinait et modelait tout ce que croisait son regard. Son style naturaliste, nourri de réminiscences de la Renaissance bellifontaine et d’une fascination pour le XVIIIe siècle, s’adaptait à tous les types de sculpture et aux arts décoratifs auxquels il ne cessa de fournir des modèles. Outre ses présentations aux Salons, il produisit des éditions de sujets tirés de la mythologie, de l’histoire ou de pure fantaisie, en terre cuite, bronze ou marbre, grâce à une utilisation novatrice de la technologie du temps. Il n’est aucun domaine auquel il ne contribua.
Selon la pratique du XIXe siècle, il organisa un atelier où collaboraient de nombreux praticiens qui oeuvraient à la production de ses sculptures et de leurs «dérivés». Le jeune Auguste Rodin y travailla à ses débuts et trouva chez son maître une veine décorative perceptible par la suite dans son oeuvre ; il y apprit en outre à maîtriser les moyens de sa diffusion. L’exposition, première rétrospective consacrée à Carrier-Belleuse, montrera comment, à côté de Carpeaux, il incarne la sculpture du Second-Empire, son éclectisme, sa générosité, sa capacité d’invention et ses ouvertures sur des perspectives multiples qui expliquent que Rodin fut profondément marqué par son maître.
Des prêts exceptionnels du musée d’Orsay, du musée Rodin, des Arts décoratifs de Paris, de la Cité de la Céramique, du Metropolitan Museum of Art de New York, de collections publiques et privées permettront d’apprécier l’extraordinaire qualité de son oeuvre et de mesurer son influence sur Rodin.
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Mode et décoration sous le Second Empire




Du 3 avril au 4 juillet 2011


Du 28 mars au 19 juillet 2010
►Télécharger le dossier de presse : dp_politique_de_l_amour.pdf



Du 4 octobre 2008 au 19 janvier 2009

Du 21 septembre 2007 au 7 janvier 2008

Du 25 octobre 2006 au 29 janvier 2007